Tombe de Victor Lenoir, Père-Lachaise
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Tombe de Victor Lenoir, Père-Lachaise
Le cul La femme fait vendre… A défaut de faire vendre, elle fait parler…
On connaissait déjà le Heart Attack Grill, fast food américain où l’on mange de façon indécente servi par des serveuses en tenue d’infirmière très légèèèère (bonus : si l’on commande le plus gros burger et qu’on le finit, on est ramené à sa voiture dans un fauteuil roulant poussé par une des infirmières). Une sorte de rêve américain, bof !
Mais les rêves sont à priori partout les mêmes…
En Australie, un polonais a décidé d’ouvrir un salon de coiffure original.
Wojtek Wasilewski, jeune entrepreneur de 26 ans a mis 18 mois pour recruter des jolies filles qui soient à la fois coiffeuse et acceptent de couper les cheveux en petite tenue, voir même topless.
Son idée : « Unir le besoin de se faire couper les cheveux et le plaisir de laisser faire le travail par une belle femme ». Avoir de jolies coiffeuses dans son salon, pourquoi pas, de là à les déshabiller…
Depuis l’ouverture le salon ne désemplit pas, il vous en coûtera quand même la somme de 30 à 69 $ (28 à 65 euros).
Visiblement pas de coupe femme fait par des hommes torses nus… Dommage, je vais peut être lancer le concept en France…
Source : 20 min Suisse
Les sextos, qu’est ce que c’est ? Contraction de sexe et texto (SMS), ce sont des messages que l’on s’envoie à titre privé de portable à portable.
Mais Apple n’est visiblement pas porté sur la chose. En effet la firme avait déjà censuré des applications sur l’iPhone présentant des femmes dénudées. La pomme envisagerait donc d’interdire les SMS avec des allusions érotiques.
Calmez vous, je vous entends frémir (oui surtout toi au fond…). C’est en réalité Cupertino qui vient de déposer un brevet dans lequel il proposerait un filtre pour limiter les messages avec des injures, du langage familier ou à caractère sexuel. Le filtre serait donc activé par l’utilisateur s’il le souhaite !
Bon en même temps ce n’est qu’un brevet, de là à ce que les effets soient vraiment actifs…
Ceci dit, ne pensez vous pas qu’un message comme « je suis malade et au lit toute nue. Viens vite prendre la température. N’oublie pas ton stéthoscope… » passerait au travers des filtres et serait parfaitement compréhensible (plutôt que "je t’attends viens me baiser ?")
Je préfère la première version… et vous ?
Source : Nouvelle Obs
Image : Belgium iPhone
Le prince saoudien Saud Bin Abdulaziz Bin Nasir al Saud a été condamné à la prison à perpétuité pour le meurtre de son serviteur et amant Bandar Abdullah Abdulaziz.
L’homme pour ne pas dire l’esclave avait été retrouvé dans une chambre d’hôtel : étranglé, le corps couverts de bleus et avec des morsures au visage (oui oui des morsures…).
Le prince avait d’abord essayé de faire jouer son immunité diplomatique, sans succès et on s’en réjoui face à de telles horreurs.
Par la suite, Saud Bin Abdulaziz Bin Nasir al Saud s’est démené en plaidant l’homicide involontaire tout en voulant faire écarter le caractère sexuel de l’histoire.
En effet, en Arabie Saoudite, l’homosexualité est considérée comme un péché mortel et est encore passible de la peine de mort.
Le prince subira la double peine puisque lorsqu’il sortira un jour de prison, il est fort probable que sa famille lui ait coupé les vivres aux vues de ses préférences sexuelles.
Il y a encore beaucoup à faire en France, mais quand on regarde chez nos voisins pas si éloignés, on se dit qu’il fait meilleur chez nous…
Source : Le Figaro
Si vous ne savez pas quoi faire les vendredis à partir du 29 octobre...
Photo prise au Musée de la ville de New York dans le cadre de l'expo consacrée à John V. Lindsay, ancien Maire de New York.
L’année dernière, les producteurs du film Sex and the City se voyaient opposer un refus à leur demande de tournage à Dubaï. Le motif évoqué alors, indiquait que le scénario aussi bien que le titre du film laissait à penser que le film pourrait heurter les sensibilités dans le monde musulman.
Visiblement les choses ont changé depuis, puisque Khadija Ahmad vient d’ouvrir une boutique coquine à Manama.
Lingeries, sextoys et crème côtoient désormais la capitale du Bahreïn. Une véritable nouveauté dans le golfe persique pour ne pas dire une révolution !
A l’origine, Khadija proposait sur un site Internet des abayas, vêtements traditionnels musulmans (qu’elle porte elle-même dans la boutique aujourd’hui) et de la lingerie féminine.
A force de développement, la directrice de la boutique a donc décidé naturellement d’évoluer dans un commerce traditionnel. Traditionnel, pas si évident que ça dans la région où elle exerce.
Khadija propose des objets liés à l’érotisme et à destination du couple. Ainsi on trouvera dans son magasin : des sextoys, des huiles de massage, des lubrifiants, de la lingerie mais aussi de l’ameublement conçu pour favoriser certaines positions.
Or la propriétaire rencontre quelques difficultés et se fait toujours accompagner par son mari ou son frère lorsqu’elle fait des livraisons chez des clients qui refusent de venir chercher leurs achats.
Malgré tout Khadija indique qu’elle ne vend pas des choses contraires à la charia (ensemble des doctrines culturelles, morales et relationnelles islamiques), et que l’islam autorise le plaisir sexuel sous toutes ses formes tant qu’il est dans le cadre du mariage.
Khadija mène un parcours difficile car elle a des détracteurs. Toutefois elle envisage de développer son activité sur d’autres villes importantes du golf persique.
On lui souhaite du courage et de la réussite dans ses projets, et pourquoi ne pas envisager des réunions Tupperlove à domicile ? Les « biens pensants » ne verraient alors plus rien…
Je m’inspire de ma vie, des actualités pour vous écrire des notes. Or la semaine dernière en allant chercher l’héritier à la garderie, j’ai eu la grande joie de découvrir une affiche avec la mention suivante : « Ils sont de retour, les poux sont parmi nous ! ».
Joie de parents que ces petits envahisseurs (que je tuerais au chalumeau si ils n’étaient pas sur la tête de l’héritier…). Plus jeune, j’étais ce que l’on peut qualifier de tête à poux. Une bestiole se balade, vous pouviez être sûr que je la récupérais.
Je me souviens des soirées inoubliables avec ma mère qui nous passait la tête aux shampoings anti-poux et autre douceur à base de pétrole…
Ils n’ont pas encore atteint la chevelure de l’héritier, mais je guette assidûment et me gratte aussi de partout rien qu’à l’idée de savoir que ces bestioles pourraient envahir ma maison.
Naturellement, en me grattant, j’ai pensé à un autre endroit de notre anatomie et donc au morpion, le pou du pubis.
Le morpion est un petit insecte trapu, long de 2 à 3 mm ressemblant à un crabe : il possède un thorax très large portant des pattes puissantes à pseudo-pinces énormes (plus fortes que celles du pou de tête) et un abdomen court et étroit. (Définition wikipédia)
(Ca vous gratte hein, ne dites rien, moi aussi…)
Les morpions ou poux pubiens si vous préférez, vivent essentiellement dans les poils pubiens donc. Toutefois, il est possible d’en trouver aussi sous les aisselles.
Si les morpions peuvent partir lors d’une bonne douche savonneuse, il n’en est rien de leurs œufs, les lentes.
Là il faudra absolument passer en pharmacie pour acheter un spray (ou poudre, ou pommade…) spécifique et traiter la zone concernée.
Se faire une coupe à la Kojak (raser intégralement…) ne résoudra rien puisque les lentes sont à la base du poil.
(Je ne sais pas pour vous mais cet article n’arrête pas de me donner des démangeaisons…)
Il faudra également penser à traiter la literie pour éliminer toute possibilité de retour de ses petits habitants. Passez l’ensemble en machine à 60° et le tour est joué !
Les morpions peuvent s’attraper lors des relations sexuelles mais aussi lors d’un échange de vêtements.
J’espère que vous aurez apprécié ce petit interlude médical et je vous souhaite une belle jouirnée (m’en vais reprendre une douche, ça me gratte…).
Comme je vous en parlais lundi, nous étions en vacances à Montréal. Interpellés par des affiches, nous avons décidé d’aller voir une expo (chose que nous avons rarement le temps de faire habituellement, vive les vacances !) intitulée : « Sexe : l’expo qui dit tout ».
Nous voulions découvrir la façon de voir la sexualité des québécois. Cette expo est dédiée aux adolescents et recommandée (c’est le mot employé) aux plus de 12 ans. Déjà, rien que dans la façon de présenter les choses, j’ai eu le sentiment que l'approche était différent.
Une expo dans laquelle la sexualité est présentée de manière franche et positive. La présentation est divisée en 5 parties : « mon origine », « moi », « moi et toi », « moi et les autres » et « ma perception »
Dans ces parties, une multitude de thèmes était abordée comme l’âge du premier baiser, les menstruations, l’orientation sexuelle, la bisexualité, l’excitation chez les filles et les garçons, la virginité, la taille du pénis, la contraception, les MST, la masturbation, l’attirance ou encore l’intérêt pour le sexe…
Nous avons été réellement frappés par cette expo qui tient toutes ses promesses. Des explications simples et ludiques sans pour autant être édulcorées.
Pour parler de sexe, il fallait aussi passer par l’image. C’est avec la participation du photographe Luc Robitaille que l’expo présente des photos remarquables. Lorsque l’on débute l’exposition on découvre deux fresques de nus, l’une représentant les filles, l’autre les garçons. Chacune montre des corps en commençant par le corps de l’enfant en passant par l’adolescent, l’âge adulte, la maturité puis la vieillesse.
Plus loin, des photos toujours, mais là exclusivement pour nous montrer le sexe des personnes fille ou garçon afin de démontrer qu’il n’y en a pas un identique.
Puis, des jeux pour nous démontrer l’attirance, le désir.
Nous avons beaucoup aimé l’expo. Pas d’hypocrisie et surtout, une expo qui parle de sexualité en abordant le plaisir, l’envie, en fait en abordant la vraie vie.
Nous ne sommes pas capables de mesurer l’impact sur les québécois. Lors de notre visite, nous avons partagé l’expo avec une classe d’adolescents, qui sont… je cherche mes mots… comme nos adolescents ! Peu ont porté de l’intérêt à l’exposition, ils ont ri bêtement en voyant des corps dénudés.
Par contre, nous avons vu plusieurs parents avec leurs adolescents, et là, nous avons constaté un réel engouement.
Les critiques des experts ont été unanimes en saluant la qualité de l’exposition (et, parmi ces experts, des ados, des parents, des médecins, des infirmières scolaires, des sexologues).
Vous l’aurez compris, amis québécois si vous n’avez pas encore visité l’expo, courrez-y (12$) et pour les autres, si vous allez à Montréal prochainement, faites un tour par le Centre des Sciences à côté du Vieux Port.
Et sinon, en France, on vient d’interdire l’expo « Kiss the Past Hello » rétrospective de Larry Clark aux moins de 18 ans. Les détails ici ou là.